Augmenter les capacités et la disponibilité, mais comment ?

L'ÖBB (réseau ferré autrichien) vise à doubler son rendement d’ici à 2040. La première présentation portait déjà sur l’objectif d’une « voie ultra-disponible » : un plus grand rendement dans la construction de voie doit être recherché par le biais d’une planification logistique optimisée. Mais le rendement a de nombreuses facettes : lors de sa présentation, Stephen Ashmore a présenté le réseau de 32 452 miles de l’Union Pacific. Les répercussions du changement climatique dans cette région impliquent de nouvelles formes de surveillance en termes de séismes, d’incendies et d’avalanches. Des corridors de transport dédiés sont la réponse donnée par l’Inde aux limites de capacités avec des charges à l’essieu allant jusqu’à 32,5 t. Au Mexique : le projet « Tren Maya » comprend 1 500 km de pose sur la péninsule du Yucatán.

Dans la section « experts du futur » du programme, trois jeunes scientifiques ont présenté des concepts de start-up innovants, dédiés à l’automatisation et à l’acquisition d’informations.

De vastes mesures de numérisation sont incontournables et en partie déjà établies. Néanmoins, les hommes occupent une place décisive dans l’entretien des voies ferrées. Le besoin s’oriente de plus en plus sur l’assistance portée aux acteurs importants tels que les chefs de district en mettant entre leurs mains de nouveaux outils. Vous trouverez la démonstration du contrôle automatisé des aiguillages et des passages à niveau sur ce sujet ici dans ce numéro.

Le 24e congrès international du groupe de travail sur les technologies ferroviaires a constitué une plateforme idéale pour aborder les défis à relever.